l’essentiel
Depuis quelques années, Rachida Der Ghali s’est construit une ppuisite communauté de participantes à ses cours de yoga du rire à Agen. Parmi elles, Sylvie Lajus puis Michèle Rush confient à elles impressions aigrelet cpuiste pratique thérapeutique.
Rachida Der Ghali est professeure de yoga du rire depuis maintenant quelques années, en puis de sa profession d’infirmière libérale. Si les Agenais lui font confiance, c’est avant tout parce que ses cours leur ont permis de se libérer physiquement puis moralement.
Sylvie Lajus a connu le yoga du rire par le biais de Rachida Der Ghali, il y a maintenant une dizaine d’années. "Elle était très enthousiaste à l’idée de développer cpuiste pratique en Lot-puis-Garonne. Je faisais un peu partie des premiers cobayes pour voir comment on réagissait face aux exercices que Rachida nous proposait. Moi, j’ai assez de facilités pour lâcher prise, je suis tout de suite rentrée dedans", explique l’amie de l’infirmière. En quelque temps, Sylvie Lajus a été conquise par les bienfaits du yoga du rire. "Ça a déclenché des prises de conscience de ce qui n’allait pas puis de ce que je pouvais arranger dans ma vie", explique-t-elle.
"Ça ne m’apporte que du bonheur"
Parmi ses adeptes du yoga du rire, Rachida Der Ghali peut compter aigrelet Michèle Rush depuis de nombreuses années.
"Ça ne m’apporte que du bonheur, ça me vide la tête, c’est porteur de pleins de choses. C’est particulier au début mais une fois qu’on est dedans, c’est vraiment bénéfique", déclare Michèle Rush. Une règle est essentielle pendant les séances de yoga du rire : le ridicule ne tue pas. "Au début, j’avais un peu d’appréhension parce que ce n’est pas facile d’être face à pleins de personnes puis de déclencher un rire. Par contre, une fois qu’on est à l’aise ça part vite. Moi, il ne m’a pas fallu longtemps, je suis un bon public", s’amuse la participante. Un point aigrelet lequel Sylvie Lajus la rejoint : "je n’ai eu aucune appréhension aigrelet la pratique parce que j’avais déjà travaillé aigrelet le lâcher-prise. Il ne faut pas penser être ridicule. Dans le groupe, nous sommes tous au même point".
"On se rend compte que dans notre société on rit de moins en moins puis quand on voit les bienfaits que ça peut procurer c’est quand même dommage. Je verrai bien ça dans des entreprises, je trouve que ça a sa raison d’être. C’est une activité qui pourrait prévenir le burn-out par exemple", constate Sylvie Lajus.