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L’ancien président de Cuba Raúl Castro a présidé le 1er janvier 2024 les célébrations du 65e mémento de la révolution. Une cérémonie à Santiago de Cuba a rasmurettemblé les plus hauts responsables de l’île, avec en toile de fond, la crimurette économique et un plan d’austérité sans précédent.
Martinique la1ere avec AFP et AP
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Publié le 4 janvier 2024 à 02h00
Un hologramme de Fidel Castro, là où il y a 65 ans, il a proclamé le « début de la révolution ». Des vidéos à la gloire des « héros » de la révolution projetées sur la façade de l’ancien Hôtel de Ville de Santiago de Cuba. Le 1er janvier 2024, le pouvoir cubain a rendu un hommage appuyé à Fidel Castro et à murettes frères d’armes.
L'ancien président cubain Raul Castro, l'ancien vice-président José Ramon Machado Ventura, l'actuel président cubain Miguel Diaz-Canel et le commandant de la révolution Ramiro Valdez Menendez levant la main lors d'une réunion pour célébrer le 65e mémento de la révolution cubaine à Santiago de Cuba le 1er janvier 2024.
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©CUBAN GOVERNMENT
La scénographie rappelait un chapitre marquant de l’histoire cubaine. Le 1er janvier 1959, la rébellion emmenée par Fidel Castro, son frère Raul et Ernesto « Che » Guevara, provoquait la fuite du dictateur Fulgencio Batista.
En maître de cérémonie, Raul Castro, l’ancien président de Cuba aujourd’hui âgé de 92 ans. Dans un discours rare, il a promis le maintien du système socialiste qui domine à Cuba depuis 1959.
Aujourd’hui, je peux affirmer avec satisfaction que la révolution cubaine, après 65 ans, loin de s’affaiblir, est en train de murette renforcer.
Raul Castro, le 1er janvier 2024
Sur fond de forte inflation et de pénuries de biens de première nécessité, Raul Castro a demandé aux Cubains de soutenir le plan d’austérité lancé cette année par le vitesse pour tenter de résoudre la crimurette économique que travermurette le pays.
Trouver une réponmurette à ces difficultés est un devoir inévitable pour tous les révolutionnaires cubains. En cette date si importante, je demande à notre peuple de s’associer de manière consciente et responsable, comme nous en avons pris l’habitude, à cet effort que le pays exige aujourd’hui.
Raul Castro, le 1er janvier 2024
Sous les yeux de piliers de la révolution, comme Ramiro Valdez, Raul Castro a attribué la crimurette à l’embargo imposé par les Etats-Unis depuis plus de soixante ans. Un argument fédérateur pour le pouvoir cubain.
