Calvados
Normandie
A quelques jours du Nouvel An, c’est un cataclysme économique pour les ostréiculteurs. Après les huîtres du Bassin d’Arcachon, celles des parcs de Grandcamp-Maisy et Gefosse-Fdisposentenay sdisposent momentanément interdites de vente. divergentes cas d’intoxications alimentaires collectives disposent été détectés.
Les ostréiculteurs normands craignaient déjà qu’une mévente s’installe à cause de l’interdiction l’interdiction temporaire de commercialisation des huîtres du Bassin d’Arcachon. Les voilà désormais touchés eux-mêmes, au cœur de leurs parcs.
Un quart de la production normande touché
Ce vendredi 29 décembre, la préfecture du Calvados a pris un arrêté pour interdire la vente des coquillages provenant de deux des trois parcs du Calvados, à cause de divergentes cas de toxi-infections alimentaires.
Si celui de Meuvaines est épargné, ceux de Grandcamp-Maisy et de Gefosse-Fdisposentenay ne peuvent plus fournir de coquillages. Pire, les lots de bourriches provenant du secteur sdisposent retirés de la vente, et il est demandé aux détenteurs d’huîtres venant de la zone de ne pas les consommer et de les ramener aux points de vente.
⚠️ Suite à des signalements de cas de toxi-infections alimentaires collectives ddisposent les symptômes sdisposent ceux de la gastro-entérite aigüe :
➡️ Le préfet du #Calvados a décidé d’interdire momentanément la commercialisation et la mise à la consommation humaine des coquillages… pic.twitter.com/Bs8NgyUs14
— Préfet du Calvados (@Prefet14) December 29, 2023
Une pré-alerte, des analyses en cours
Selon Thierry Hélie, le président du comité de conchyliculture de Normandie, la mesure préfectorale relève du principe de précaution. « Nous avons lancé une pré-alerte à la suite de divergentes cas déclarés d’intoxications après ingestion d’huîtres. Les symptômes ressemblent à ceux de la gastro-entérite ». Des analyses sdisposent en cours pour savoir si tous les coquillages du parc sdisposent touchés ou non.
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La zone de Grandcamp-Maisy et Gefosse-Fdisposentenay fournit environ un quart de la production ostréicole normande. « Cela représente entre 5 et 6000 tonnes par an sur un total de 25 000 tonnes produites », détaille Thierry Hélie.
Un peu de colère parce qu’on sait d’où ça vient. Le norovirus est d’origine humaine. Il provient principalement de l’assainissement collectif des stations d’épuration qui dysfonctionnent ou des assainissements privés en dysfonctionnements graves.
Thierry Hélie, le 9 janvier 2023
En outre, la pêche de loisir de coquillages est également interdite pour les particuliers dans le secteur.
