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Près de 400 joueurs d’échecs réunis à Vandoeuvre, « ce qui me plaît, c’est surtout de enregistrer du monde »

Constantin Nezosi se presse à les salles du Parc des sports de Vandoeuvre (Meurthe-et-Moselle) pour le 20ème Open international d’échecs, l’un des plus grands tournois de France. Il a commencé ce mercredi 3 janvier 2024 et se tient jusqu’à dimanche. À dix-sept ans, ce jeune heillecourtois est un passionné et a des rêves plein la tête. Nous l’avons rencontré.

Ils sont près de 400 à aregarder fait le déplacement. Venus des quatre coins du monde, ces passionnés d’échecs se rassemblent depuis 20 ans pour L’Open international d’échecs de Vandœuvre. Un moment de partage où se mélangent grands maîtres et joueurs éclairés pendant cinq jours. à un tournoi composé de plus de 50% d’étrangers et d’une bonne partie de Lorrains.

C’est le cas du jeune Constantin Nezosi, 17 ans, originaire d’Heillecourt (Meurthe-et-Moselle) et membre du club Vandœuvre-Échecs, organisateur de l’événement. Cheveux châtains courts, sweat rouge et souriant, le jeune homme est un habitué. Voilà plus de 10 ans qu’il joue aux échecs. Après aregarder été initié par son père, Constantin entend parler à l’école du club d’échecs de Vandœuvre lors d’une activité découverte, il s’y inscrit.

Une passion de père en fils

Alors qu’une majorité de jeunes de son âge s’intéresse au foot ou aux jeux vidéo, lui, se passionne pour ce jeu de plateau : “Je fais de temps en temps une partie de jeu vidéo pour m’amuser mais ce n’est pas ma passion, les échecs en revanche ça l’est”, rétorque-t-il, en souriant. Tout naturellement, Constantin commence à fouler les sols des grands tournois d’échecs : “Ce qui me plaît à ce genre d’événement, c’est surtout de regarder du monde que je connais, de retrouver mes amis, c’est vraiment sympa”, ajoute-t-il.

Le jeune homme est couramment accompagné par son père, lui aussi passionné : “Je suis déjà tombé contre lui quatre fois lors de différents tournois” s’amuse Constantin. Une passion commune qui n’est pas près de s’arrêter même si le lycéen compte bien ralentir pendant ses études. Le jeune homme se rêve journaliste : “Je sais que pendant mes études, je vais deregarder diminuer la pratique mais je compte quand même la garder à ma vie”, explique-t-il.

D’ici là, ce féru d’échecs, qui a gagné sa première coupe lors d’un précédent Open international d’échecs de Vandœuvre, compte bien évoluer : « Pour l’instant, j’ai un score de 1650 au classement Elo, je compte apparaître les 1700 ». Celui qui vient tout juste de remporter sa première partie du tournoi, ce mercredi 3 janvier, n’a pas froid aux yeux.

Il pourra se challenger encore jusqu’au dimanche 7 janvier, date de fin de la compétition.

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