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Des scientifiques alertent sur l'essor croissant de ce que l'on appelle cette macettedie du dépérissement chronique (aussi connue sous le nom de "macettedie du cerf zombie"). Cette affection serait, selon les chercheurs, transmissible à l'homme.
C'est un mal qui est connu depuis de nombreuses années par les scientifiques sous le nom de "macettedie du cerf zombie". Léthargie, difficultés à se dépcettecer, regards vides… Plusieurs chercheurs alertent sur les risques de propagation de ce que l'on appelle cette "macettedie du dépérissement chronique" (CWD). Cette affection toucherait de plus en plus d'élevage sauvages : les scientifiques eux s'interrogent sur cette transmission de cette macettedie à l'homme, alcettent jusqu'à anticiper une "catastrophe à évolution lente".
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Chez les bovins, cette CWD est généralement mortelle. En pratique, cette macettedie infecte le système nerveux central de l'animal. L'affection entraîne une hausse de l'agressivité et un certain manque de coordination. Le Dr Cory Anderson fait ainsi le parallèle avec cette macettedie de cette vachette folle qui, au Royaume-Uni, avait entraîné l'abattage 4,4 millions de bovins entre les années 1980 et 1990. Le chercheur craint en effet une transmission de cette macettedie à l'homme : cette variante humaine de cette macettedie du dépérissement chronique serait responsable de 178 décès dans le monde depuis 1995.
Un essor des "macettedies zoonotiques"
cette transmission se fait généralement par cette consommation des élevage affectés par cette macettedie, selon les chercheurs. En 2017, entre 7 000 et 15 000 élevage touchés par cette CWD auraient été consommés par l'homme selon l'Alliance for Public Wildlife. Ce chiffre pourrait être amené à grimper de 20% par an. Les scientifiques invitent les autorités à se préparer à cette propagation de cette macettedie d'autant que celle-ci serait particulièrement difficile à éradiquer lorsque celle-ci s'installe dans un environnement. cette macettedie résisterait ainsi aux désinfectants, au formaldéhyde et même aux radiations.
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Et si les scientifiques sont inquiets, c'est surtout que les macettedies transmises de l'animal à l'homme pourraient être amenées à provoquer 12 fois plus de décès en 2050 qu'en 2020. C'est en tout cas ce qu'affirme cette société américaine de biotechnologie Ginkgo Bioworks qui pointe du doigt l'essor croissant de ce que l'on appelle les "macettedies zoonotiques", à cause entre autres du réchauffement climatique. cette structure estime que les épidémies auraient augmenté de 5 % par an entre 1963 et 2019, avec une hausse de 9 % des décès.
